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Photographie | Colonnes -- France | Gravure | Bordeaux (Gironde) -- Place des Quinconces | Chapiteaux | Transports de marchandises | Grottes -- France | Volcanisme | Coulées de lave | Metz (Moselle) | Dromadaire | Bureaux de poste | Architecture métallique | Urbanisme | Géographie | Perspective | Construction métallique | Paris (France) -- Quartier de Grenelle | paris | Métros | ...
Boudoir de Jeanne Lanvin en 1925. Source : http://data.abuledu.org/URI/5860789d-boudoir-de-jeanne-lanvin-en-1925

Boudoir de Jeanne Lanvin en 1925

Albert-Armand Rateau (Français (1882-1938) : Boudoir, vers 1925, appartement privé de l'hôtel particulier de Jeanne Lanvin à Paris, 16 rue Barbet de Jouy, démoli en 1965, Musée des Arts Décoratifs, Paris, France. Murs recouverts de lambris moulurés, surmontés de bas-reliefs en stuc ; alcôve encadrée de colonnes engagées en marbre veiné avec base de bois sculpté ; plinthe en bois sculpté ; sol en dalles de marbres blanc et noir ; vitrines d'angles tapissées de soie "bleu Lanvin". Canapé, vers 1925, avec encadrement en chêne mouluré, dossier et accotoirs enveloppant, rembourrés, capitonnés et recouverts d'une garniture d'origine de soie jaune tilleul ; paire de luminaires lampadaire en bronze fondu et patiné vert antique, provenant de la salle de bains de Jeanne Lanvin.

Colonnes rostrales à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/55476276-colonnes-rostrales-a-bordeaux

Colonnes rostrales à Bordeaux

Colonnes rostrales, Place des Quinconces à Bordeaux, Gironde (base Mérimée|PA33000075). Les deux colonnes rostrales (21 mètres de haut) situées face à la Garonne, ont été construites par Pierre-Alexandre Poitevin en 1829. Chaque colonne est ornée au tiers inférieur de quatre proues de galères prolongées de rostres formés de deux faisceaux de trois glaives, œuvre de l’ornemantiste d’origine italienne N. Bonino. Les rostres rappellent la victoire des flottes romaines sur celles de Carthage et, depuis l’Antiquité, signifient la maîtrise triomphale des mers. Le chapiteau supporte un édicule circulaire couvert d’une coupole supportant deux statues du sculpteur Monsau, à l'origine en terre cuite, avant d'être remplacées par des copies de fonte : l'une symbolise le Commerce et l'autre la Navigation. Le décor, finement sculpté par Bonino sur le fût, copie les proues et les ancres figurant sur le modèle de référence du musée du Capitole, mais Poitevin y a ajouté le caducée de Mercure et l’étoile qui guide le marin, attributs du Commerce et de la Navigation. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Place_des_Quinconces

Contreforts en pierre de Notre Dame. Source : http://data.abuledu.org/URI/51439cae-contreforts-en-pierre-de-notre-dame

Contreforts en pierre de Notre Dame

Matériaux utilisés pour la construction de Notre Dame de Paris : "À l'inspection des monuments élevés pendant le moyen âge, il est aisé de reconnaître qu'alors, plus encore que pendant la période gallo-romaine, on exploitait une quantité considérable de carrières qui depuis ont été abandonnées, qu'on savait employer les pierres exploitées en raison de leur qualité, mais avec une économie scrupuleuse ; c'est-à-dire qu'on ne plaçait pas dans un parement, par exemple, une pierre de qualité supérieure convenable pour faire des colonnes monolithes, des corniches, des chéneaux ou des meneaux. Ce fait est remarquable dans un de nos édifices bâti avec un luxe de matériaux exceptionnel: nous voulons parler de la cathédrale de Paris. Là les constructeurs ont procédé avec autant de soin que d'économie dans l'emploi des matériaux. Les pierres employées dans la cathédrale de Paris proviennent toutes des riches carrières qui existaient autrefois sous la butte Saint-Jacques, et qui s'étendent sous la plaine de Montrouge jusqu'à Bagneux et Arcueil. La façade est entièrement construite en roche et en haut banc pour les parements, en liais tendre pour les grandes sculptures (banc qui avait jusqu'à 0m,90 de hauteur) et en cliquart pour les larmiers, chéneaux, colonnettes (banc de 0m,45 de hauteur au plus). Le liais tendre des carrières Saint-Jacques se comporte bien en délit, aussi est-ce avec ces pierres qu'ont été faites les arcatures à jour de la grande galerie sous les tours. Les cliquarts ont donné des matériaux incomparables pour la rose et pour les grandes colonnettes de la galerie, ainsi que pour tous les larmiers des terrasses. Parmi ces matériaux, on rencontre aussi dans les parements et pour les couronnements des contre-forts des tours l'ancien banc royal de Bagneux, qui porte 0m,70, et le gros banc de Montrouge, qui porte 0m,65 : ces dernières pierres se sont admirablement conservées. Dans les fondations, nous avons reconnu l'emploi des lambourdes de la plaine, et surtout de la lambourde dite ferme, qui porte jusqu'à un mètre ; quelquefois, mais rarement, du banc vert." Eugène Viollet-le-Duc. "Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle".

Fontaine place Georges Mulot à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/509fde91-fontaine-place-georges-mulot-a-paris

Fontaine place Georges Mulot à Paris

Fontaine du Puits artésien de Grenelle, place Georges Mulot, Paris. Cette fontaine a été construite à l'emplacement du premier forage artésien de Paris réalisé de 1833 à 1841 par l'ingénieur G. Mulot sous les ordres de F. Arago. La fontaine se présente sous la forme d'un massif monumental de pierre de taille de section carrée encadré de colonnes. Sur chacune de ses faces sont apposés des médaillons de pierre représentant des personnalités dont le nom est honoré par les rues qui convergent dans cette partie du 15e arrondissement : Louis-Georges Mulot (place Georges-Mulot), par Paul Waast ; Valentin Haüy (rue Valentin-Haüy), par Hippolyte Lefèbvre ; Rosa Bonheur (rue Rosa-Bonheur), par Georges Loiseau Bailly ; Eugène Bouchut (rue Bouchut), par Firmin Michelet.

Grotte de lave. Source : http://data.abuledu.org/URI/524da06e-grotte-de-lave

Grotte de lave

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, manuel scolaire, édition de 1904 : UNE GROTTE DE LAVE. - Dans la lave sortie autrefois des volcans se creusent des grottes avec des colonnes, dont quelques-unes ont les formes les plus curieuses.

Le dromadaire de Metz. Source : http://data.abuledu.org/URI/54d3d1ed-le-dromadaire-de-metz

Le dromadaire de Metz

Détail. Hall d'entrée, salle des colonnades, Poste centrale de Metz. Chacun des chapiteaux centraux représentent deux illustrations des moyens de transport ou de télécommunication. Base Mérimée, PA00106850.

Perspective sous le métro aérien de Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e282f1-perspective-sous-le-metro-aerien-de-paris

Perspective sous le métro aérien de Paris

Perspective sous le métro aérien à Paris (Ligne 6), entre les stations "Nationale" et "Chevaleret" (que l'on aperçoit au fond). Notez les colonnes et structures métalliques, ainsi que la voûte en brique.

Place des Quinconces à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dd506-place-des-quinconces-a-bordeaux

Place des Quinconces à Bordeaux

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.215 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LA PLACE DE QUINCONCES A BORDEAUX. - C'est l'une des plus belles de la France. De là on découvre le port de Bordeaux avec la forêt des mats, les larges cheminées des paquebots, les machines appelées grues qui servent à charger ou à décharger des marchandises et qui s'élèvent en l'air comme de grands bras. A l'extrémité de la place se dressent de hautes colonnes au sommet desquelles, la nuit, s'allument des feux.